Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil  

Tout champ :
   
Retour au tableau des résultats

7552 résultats trouvés

Précédent 1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4601 4651 4701 4751 4801 4851 4901 4951 5001 5051 5101 5151 5201 5251 5301 5351 5401 5451 5501 5551 5601 5651 5701 5751 5801 5851 5901 5951 6001 6051 6101 6151 6201 6251 6301 6351 6401 6451 6501 6551 6601 6651 6701 6751 6765 6801 6851 6901 6951 7001 7051 7101 7151 7201 7251 7301 7351 7401 7451 7501 7551 7552 Suite droite

 
Titre :Sauce mayolaise, pot-pourri (1e partie), du film "Aux urnes citoyens"
Interprète(s) :Mayol, Félix
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement électrique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Parlophone
Numéro de double-face :22925
Numéro de catalogue :A138715-2
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :11-06-2010
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Pochette Parlophone
Texte du contenu :Sauce Mayolaise


Messieurs, dames, voulez-vous me permettre
Si drôle que cela puisse vous paraître
De vous dire que ces r'frains qu' vous trouvez si joyeux
Et que vous m' réclamez sont peut-être un peu vieux
Ces romances pimpantes que je chante
Bien qu'elles aient eu le tort de vieillir
D' les entendre encore
D' les entendre encore
Ça vous fait toujours plaisir

Autrefois j'avais une cousine
Je vous l'ai d'ailleurs, je crois
Chanté tant d' fois
Que vous d'vez maint'nant, j'imagine
La connaître tous, ma foi
Aussi bien qu' moi

La semaine passée
Je n' l'avais pas vue d'puis vingt années
Elle me dit, pâmée
"Je suis libre, maintenant je suis à toi
Cousin, tu dois être en émoi"
J' lui réponds "Y a vraiment pas d' quoi"

Cousine, cousine
Faudrait pas que ça t' chagrine
Cousine, cousine
Tu devrais prendre une médecine
Oui, je sais bien, dans le temps je t'ai dit "Je suis là, té, j'attends mais, vois-tu…"
Cousine, cousine
Je crois qu' j'ai trop attendu

Avec des gestes nerveux
E' m' passe la main dans les ch'veux
Ses doigts s' faufilent
Et m' déshabillent
Pour m' chatouiller
Y avait rien d' fait
Et moi, je pensais tout bas
"Comme l'on change ici-bas
Autrefois, dame !
Sa main de femme
M'a rendu fou
Maint'nant j' m'en fous"

J'ai rencontré la fifille à sa mère
Ses tas d'enfants
Trois par devant
Cinq autres par derrière
Elle donnait l' bras à son crétin d' mari
Un brave garçon qu'a bien vieilli
Vous l' connaissez aussi

Il s'app'lait Bou-dou-ba-da-bouh
Il jouait d' la flûte en acajou
Sur son instrument
Fallait voir comment
Il savait boucher les trous
Mais depuis qu'il l'a épousée
Faut croire que sa flûte est usée
Son jeu est très mou
Sa femme dit partout
Qu'il ne bouche plus rien du tout

{Parlé :}
Ah, que voulez-vous, on vieillit et puis on grossit, n'est-ce pas, madame…

Dans c' temps-là vous étiez mince
Moi, j'avais l' torse élégant
Je vous dis "Pour vous j'en pince"
Vous m'en avez dit autant
"Avec moi j' voudrais qu' tu vinsses
La rue a des coins ombreux"
Mais vous hésitiez
Et vous me disiez
"On peut nous voir tous les deux"
Je vous dis d'un air câlin
"Nous nous tiendrons cachés sous mon pépin
Si tu veux venir, ô ma jolie
Sous mon petit para, parapluie
Nous ferons mille et mille folies
Sous ce délicieux abri"
Mais maint'nant pour nous cacher d' la foule
Comme tous deux nous avons épaissi
Il faudrait au moins, ma grosse poupoule
Il faudrait trois parapluies

{Parlé :}
Ah la la, et puis c'est trop fatigant

Il faut être un p'tit jeune homme
Pour suivre un petit trottin
Sans ça, vite on s’époumone
Et l'on vous plaque en chemin

{Parlé :}
Oh, mais moi je connais le remède. Vous avez lu dans le journal ? À la quatrième page, la réclame : La souris de l'abbé Jouvence… La…La jouvence de l'abbé Soury

Tout le long, le long d' l'abbé Soury
Je m' disais "Comme on rajeunit
Quand on prend cette jouvence
Oui, on retombe en enfance"

{Parlé :}
Mais moi, j'ai pas besoin de ça, je vais tout simplement là-bas…

Dans mon pays, dans mon pays
Quand j'en reviens, je suis ravi
Oui, mes refrains en sont bien plus jolis
Eh oui, mes amis, je vous le dis
Dans mon pays, dans mon pays
Non, jamais on ne vieillit

{Parlé :}
Ah ah ! Ah, tu parles… je joue à la toupie et au cerceau, là-bas.

Lorsque je chante
Sur tous les tons
Chansons touchantes
Ou gais flonflons
La vie me paraît souriante
Lorsque je chante


Montrer l'autre transfert audio du même document, ou montrer la face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/5965.html

  Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil